Je suis idiote de croire que tu ne te servais pas de moi.
Apparemment chez vous (ce n'est plus chez moi), la gentillesse est une forme d'idiotie voir même de connerie. Pourquoi se donner du mal pour des personnes qui critiquent à longueur de temps? Je pensais qu'on pouvait faire confiance à certains d'entre eux. Le plus comique dans cette histoire, c'est que tu parles sur lui quand tu es prêt de moi et que tu me débines quand tu es avec de lui.
Enfaite, c'est un vrai cercle vicieux. Il y a des personnes qui ont besoin d'utiliser ses "amis" afin d'en tirer le meilleur des profits. (Te voir aussi souvent en peu de temps m'a montrée a quel point tu as voulu profiter de ce que j'avais à apporter.)
As tu jamais pensé que cela pouvait blesser certaines personne? Aimerais tu que l'on te le fasse ?
La gentillesse devient un défaut par ta faute.
Je ne veux plus t'écouter mais surtout je souhaite juste que tu sortes de ma vie.
J'ai déjà donné, je n'ai pas envie de me perdre sur une route qui n'en vaut pas la peine.
& Crois moi, tu n'en vaut finalement pas la peine.
Tu vas finir là où tu as commencé, c'est a dire nul part.
Je ne suis pas en colère contre toi, tu m'aspire de l'indifférence.
Je passe à LA SUITE. Je ne suis pas fataliste, juste fatigué d'écouter des mensonges.
Ma gentillesse n'est pas un défaut et ne me crédit pas de conne.
Sert toi de moi mais ce n'est pas moi qui va perdre le jeux au quel tu joues.
J'ai besoin de personne pour survivre, je n'ai pas besoin des gens pour me construire (pas comme toi)
Tu ne me supportes pas ? Alors pourquoi m'appelles tu ? Je ne t'ai strictement rien demander.
Ne cherches plus à tirer profit de moi car aujourd'hui tu es juste le fantôme d'un ami.
Je ne veux pas t'écrire, te parler tout comme à tes sois disant amis. Tu n'es pas mon ami, tu ne fait plus partie de mon entourage.
Tu m'es indifférent.
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