Des brouillons laissés en suspens. Passionnée à l'éteint, le temps devait réfléchir à la publication de l'un d'entre eux. Il a tranché... Mais, j'aurais préférée publier le premier instinct.
Il n'y a pas de mot pour ce sentiment de perplexité qui m'envahit.
Il faut dire que l'attraction n'est pas suffisant.
Une impression d'avoir rêvé. Est ce irréel ?
Hypnotisée mais blessée par cette façon d'agir.
L'incompréhension est exaspérante...
Il faut se laisser être heureux
Mais, apparemment la protection est si blindée que ma pioche ne trouve pas gain de cause.
Je n'ai même plus envie d'écrire sur ce bavoir.
(Qui épouse les sensations que je refoule)
Impossible de ne pas sourire sous cet intense regard.
Une forme d'extase me submerge pendant que je séquestre un silence pesant.
Une sorte de gout amer s'instaure.
Mon égo serait-il froisser ? Ou cette distance m'interloque ?
Ce comportement m'abasourdit au point d'en devenir obsessionnelle.
Ai je égarée mon imagination sur un terrain instable?
Les souvenirs sont à la limite de l'offense.
Sans blamer, sans comprendre, je repars m'affirmer au soleil.
Oublier la valorisation (surement excessive).
Le bonheur, j'en suis convaincue. Cette morosité ne me déstabilise pas.
Les résolutions m'assomment. Peu importe où vais je...
Tant que je connais ce dont je ne souhaites plus.
Je m'étais habituée à cette tendresse gardant ce pressentiment "de révère de médaille"
Trop de ligne, trop de mot qui s'emmêle dans mes pensées...
Affectueux puis lointain, c'est un mystère qui me laisse sans voix.
Il est temps de partir à l'encontre d'un nouveau pays.
De réguler ce désir de voyage, d'évasion..
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