Les étincelles volent comme
un choc électrique poussant à travers mes veines. Je suis hors de ma
tête, je suis hors de mon coeur. j'ai pensé que c'était fini. Peut on
revenir au début? (Va-t'en dans le vent)
C'était la dernière fois où
je pouvais prétendre à quelque chose de nouveau. Alors, j'essaie de faire
semblant. Mais au fond, il n'y a toujours eu que lui. Je l'ai laissé
s'enfuir. J'ai rayé les blessures et affiché ce bonheur. Nous avons vécu une belle histoire. Est ce que notre temps
est vraiment disparu à jamais? Même si j'ai appris à vivre sans lui.
(Laissez moi me souvenir.) J'aimerais croire que rien n'est
finit. Je veux croire à ce destin qui nous rassemblera à nouveau. C'est la
dernière fois où je pourrais prétendre ne plus t'aimer. Le
temps défile, et les choses changent. Nous évoluons pour découvrir nos
désirs et nos rêves. Pourtant, ce sentiment reste constant. J'ai cassé les sabliers
espérant évacuer ce nuage de poussière. C'est comme si, je te retrouverais hors
du temps. Mon brouillard a laissé place à la réalité. L'amour est
toujours aussi intense. Je me souvient comme lorsque je t'ai
rencontré tu avais les allures de roi du
monde, et un pouvoir de séduction incontestable. Sans cesse mes pensées se
glissaient dans ta direction, il n'y avait plus de bien ni de mal. Uniquement
ton sourire, sur lequel je pouvais passer mes journée à le regarder. J'avais si
peur de fermer les yeux et que tu ne sois plus là.
J'étais incapable de
contrôler ce que je ressentais. C'était tous simplement si différent, si
intense et si terrifiant. Je voulais juste être à tes cotés. J'ai quittée ce
que j'avais peur de perdre. Tu étais toute ma vie, j'ai fui cette vie
avant que tu ne le fasses. J'ai été lâche.
Je me sens comme asphyxié.
Traversons la frontière dans le grand
méchant monde
Où ça te prend environ une heure juste pour
traverser la route
Juste pour tomber sur une autre vieille âme
Des vieilles petites routes ennuyeuses à la
grande rue de folie
Je lutte avec moi-même pour en croire mes
yeux
Et c’est plus difficile que tu penses pour retarder la tristesse
Qui redresse ma colonne vertébrale
Et me hantes jusqu’à la nuit
La vie est belle et les hommes sont beaux,
L’air sent bien plus vert maintenant
Et je erre avec la moitié d’un kilo de
folie dans ma poche
Cherchant la monnaie que j’ai perdu d’une
manière ou d’une autre
Ces rues ont tellement de noms pour moi
Je vais m’habituer à ça finalement je sais,
Je sais que je hante le passé à la
recherche de notre avenir
Où devraient aller les jours
Quand tout ce que nous avons fait était joué
Et le stress que nous avions de perdre l'être
Juste une course
Et un saut dans une innocente chute
Une promenade par une pente élevée à mon point
de repère
Tu vois des millions de gens avec des
millions d’attentions
Et je m’efforce de me traîner à trouver ma
façon de vivre
Je regarde les gens alors qu’ils
s’asseyent,
là seuls, sans convictions
La vie est belle et le soleil brille,
Tous envahissent leur endroit idéal
Et les enfants sourient tous
Alors que les bateaux traînent selon eux
Essayant de faire semblant qu’ils ont un
certain espace
Je serais là à fixer les nuages en forme d'animaux
J'ai couru à mes rêves en oubliant ma vie
Que cette vie,
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