Tout me revient
Tout me ramène
Tout me retient
Tout me rappelle
Il n'y a qu'un pas,
Qui n'en finit pas
Entre ces choses qu'on fui, mais que l'on chuchote
Je le cache au fond de ma hotte,
Comment décrire la force de mon ressenti,
Tu es gravé en moi depuis toujours
Et pour toujours.
Des années,
Et pour toujours.
Des années,
Que je vois se dessiner le chemin
Sans fin
Tout nous destine
Tout me soulève
Tout me dessine
Tout tes sens
Qui m'apprennent à connaitre le verbe..
Qui m'apprennent à connaitre le verbe..
Tout tes gestes
Sans orages, ni combats
Sans orages, ni combats
Il suffit d'avoir parcouru les nuits blanches à rêver
De fonder l'irréelle sous une couche de nuage
Ce que les contes de fées vous laissent inventer
Croire en une passion qui s'affaiblit
Sous une montagne d'illusions
De perdre des minutes dans un tourbillon de quiétude
Des fantasmes déçus qui sont passé inaperçus
Ce que les contes de fées vous laissent inventer
Croire en une passion qui s'affaiblit
Sous une montagne d'illusions
De perdre des minutes dans un tourbillon de quiétude
Des fantasmes déçus qui sont passé inaperçus
Et du coeur à ses lèvres, vous devenez un casse-tête
D'être tombé plus bas que la poussière
et à la terre entière
En vouloir, puis se taire
D'être tombé plus bas que la poussière
et à la terre entière
En vouloir, puis se taire
D'apprendre à sourire et à donner sans aucune rature
Aucune égratignure
D'avoir laissé jusqu'à sa dignité
Sans plus rien demander
qu'on vienne vous achever
D'avoir laissé jusqu'à sa dignité
Sans plus rien demander
qu'on vienne vous achever
Et un jour, un homme
dont le regard vous frôle
D'une sensualité, d'un magnétisme
Bravant la magie d'une irréalité
Alors que l'amour était ensommeillé.
Celui qui depuis des années,
Vous porte sur ses épaules
Comme il porte le monde
Et jusqu'à bout de force
Recouvre de son écorce
Vos plaies les plus profondes
Il invente la féerie à ce monde de brute
Jamais vous n'auriez imaginer
Vous sentir envouter
Par ce moment
Sans changer
La femme que vous êtes
Qui se dévoile sans faire de compromis
dont le regard vous frôle
D'une sensualité, d'un magnétisme
Bravant la magie d'une irréalité
Alors que l'amour était ensommeillé.
Celui qui depuis des années,
Vous porte sur ses épaules
Comme il porte le monde
Et jusqu'à bout de force
Recouvre de son écorce
Vos plaies les plus profondes
Il invente la féerie à ce monde de brute
Jamais vous n'auriez imaginer
Vous sentir envouter
Par ce moment
Sans changer
La femme que vous êtes
Qui se dévoile sans faire de compromis
Alors, il suffit de fermer les yeux
Pour imaginer à nouveau cet univers
Qui a pris le virage de l'idéal
Qui a pris le virage de l'idéal
Mais avec sa main dans la votre
Afin de vous inonder d'amour
Et de courage.
Une idylle amoureuse
Une idylle amoureuse
Comme on renaît de ses cendres,
Avec tant d'amour à revendre
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