Il y a un feu qui s'est allumé dans mon cœur.
Atteignant son paroxysme, il m'a fait sortir de l'obscurité.
Je ne suis pas la miséreuse que vous regardiez de haut.
J'avance de la même façon que d'habitude, en évitant chaque fissure sur les trottoirs.
Tel un paon qui se pavane. Je me sens affectée.
Je visionne le passé pour ne pas oublier.
Roulant dans la profondeur, le coeur entre les mains, vous souhaitez de ne jamais me rencontrer.
Dans ma ville natale, les souvenirs sont vivaces.
Les personnes qui croisent mon chemin, ceux qui rentrent dans mon coeur...
Sont les merveilles de mon monde.
Je ne me laisserais pas faire, je serais unis avec les miens.
J'ai la chance de choisir mon avenir, d'être libre et d'assumer tous mes choix.
Danser au milieu de la nuit, tournoyer sans m'arrêter pour tomber à la renverse dans vos bras.
Les regrets et les erreurs sont des souvenirs que nous construisons nous-mêmes.
Mon coeur est en train de tomber,
Et pendant qu'il tombe, vous vous êtes levé pour le réclamer.
Il faut savoir perdre pour en connaitre le prix de la victoire.
( Ce sourire ne trompe pas la joie immense de t'avoir dans ma vie, Malaïka. )
Cette envie de crier au monde que je suis sous l'emprise de personne.
Il y a des milliers de souvenirs heureux.
La lutte sera perpétuelle contre tous ses bouleversements.
Je ne me laisserais pas renversée par ces cieux hantés.
Prouvez moi que vous pouvez tenir la route jusqu'au bout.
Personne n'est parfait. Je l'ai appris. Je le sais. Je le suis.
Il faut se mettre au défit d'abandonner son coeur.
Se sentir vulnérable dans l'espoir de trouver une seconde force.
S'il y a bien une chose que je sais.
Je ne veux dépendre de personne. Je ne réclamerais rien, sachez-le.
Vivre par moi même, tel est la vie.
S'il y a bien une chose que je sais.
Je ne veux dépendre de personne. Je ne réclamerais rien, sachez-le.
Vivre par moi même, tel est la vie.
Evitons la noyade dans cet mer cristalline
Devenez mon bouleversement avant la chute.
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